"L’ordinaire d’un pays sous développé impose déjà aux populations des souffrances considérables (manque d’eau, d’électricité, d’accès à l’éducation et à la santé, de carburant de gaz et … d’emploi). S’y ajoutent aujourd’hui les chocs des crises énergétique et alimentaire mondiales, lit propice à des tensions et explosions sociales. Le Président de la République et son gouvernement ont la responsabilité de ne pas y surajouter les dangers d’une impasse politique. Sa première tâche, la nôtre aussi est donc d’éloigner de notre pays le spectre de la division, de l’instabilité et du conflit".
(extraits de la lettre-réponse d'Idrissa Seck à Amadou Makhtar Mbow).
Souleymane
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